PÉTRINA

(Barbara CARTLAND : Les beaux messieurs de Pétrina)

« …ses lèvres se firent plus pressantes, plus possessives et elle eut l’impression qu’ils étaient enveloppés d’une sorte de lumière et que la beauté de la vie irradiait à l’entour… » (p.179)

Alors là, j’m’en va vous dire un truc, 179 pages et paf !

Alors là si j’m’attendais à celle-là…

Bon, quand Pétrina s’est enfuie de son collège et que, ô miracle, c’est sur son tuteur qu’elle est tombée, j’me suis ben dit qu’elle avait du pot, d’autant qu’elle croyait qu’il était vieux et râpé alors qu’il était jeune et riche. Tout le monde peut se tromper.

Bon, mais ça n’a pas empêché qu’elle l’a trouvé snob, et tout ça, avec ses séances à la chambre des Lords, et ses dîners avec le régent, et que de toute façon c’qu’a voulait c’était devenir la jeune débutante la plus courtisée de Londres.

Bon, elle le d’vient et tout l’beau monde il est amoureux d’elle, alors de quoi j’me mêle si le comte il en pince pour Lady Isolda et qu’il a une liaison avec c’te chanteuse, l’Yvonne Vouvray.

Pétrina l’avait ben raison que c’t’homme là c’était pas du bon.

« …le baiser était si parfait, si merveilleux que Pétrina se demanda si elle n’était pas morte, si elle ne se trouvait pas au paradis… » (p.180)

Mince, v’là qu’elle est morte d’un coup, et dans les bras du comte que ça va sûrement lui attirer des ennuis au comte.

« …le baiser du comte se fit plus passionné, plus exigeant et soudain elle sentit en elle un feu qui la plongea corps et âme dans une extase dont l’intensité lui était inconnue jusqu’alors… » (p.181)

Et ben non, elle était pas morte et c’est tant mieux parce que pour finir elle s’est bien mise à en pincer pour le comte qui s’faisait tirer l’oreille rapport à la Isolda et à la Yvonne, alors elle y’a montré qu’c’était rien qu’des moins que riennes, des arriveuses, alors forcément l’comte il aurait eu bien tort d’aller chercher ailleurs c’qu’il avait sous la main.

« …puis elle vit briller les étoiles, la lune et le soleil tandis que le comte la transportait au delà du monde dans un royaume qui n’appartenait qu’à eux. » (p.188)

Eh ben, cette madame Cartland, on pourra dire qu’elle m’en aura fichu une suée, parce que son histoire c’était plutôt mal engagé, hein !

Et pour finir, ça s’finit bien quand même, ça au moins c’est une bonne surprise.

C’qu’y a d’bête, c’est que j’voulais vous l’prêter et maintenant que j’vous ai dit la fin forcément y’a plus l’suspense.

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FINIS CORONAT OPUS

La fin couronne l’œuvre

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